[Facil] Fw: [Rescape-l] Lancement de candidats.fr : le LogicielLibre s'invite dans la campagne

zara ecrire at catherine-roy.net
Mer 31 Jan 16:34:19 EST 2007


 
> Quand on a des questions à poser, il faut être
> capable de les poser. Si
> tu organises une table ronde avec, par exemple, mr
> Gautrin, il va
> falloir être capable d'exiger des réponses...
> M'enfin...
> 
> Je ne dis pas que l'APRIL aura les g%$*&es de poser
> les bonnes
> questions, juste que si on organise un truc du genre
> il va falloir être
> capable de le faire...
> 
> Mais bon, c'est sûr que lutter contre la corruption
> ça peut être gênant
> pour certains...
> 
> Donc, c'est bien ce que je disais, ça risque d'être
> difficile de mettre
> en place un tel truc ici...
> 
> j'aimerais ça quand même. Voilà un beau projet pour
> FACIL.


En fait, je pense que ce n'est pas nécessairement qu'on ne peut pas les poser, ces questions embêtantes, et que par conséquent, est-ce vraiment pertinent d'organiser ça ou est-ce que c'est possible, etc. De toute manière, on le sait bien, lorsqu'ils ne veulent pas embarquer dans une discussion, la majorité des politiciens ont le don de fournir des réponses qui ne veulent rien dire finalement. Mais, selon la mission de FACIL, selon aussi la façon qu'on a d'aborder les choses, quelle est le type de relation qu'on souhaite entretenir avec la gente politique et est-ce que le fait de juste les poser, ces questions, pourrait avoir un impact irréparable sur nos relations et/ou compromettre nos visées ? Et dans le cas où on n'obtiendrait pas toutes les réponses qu'on veut, peut-on vivre avec ça ? Peut-on trouver une façon d'en retirer qqchose quand-même dans l'immédiat ou à plus long terme ?

J'ai l'impression que la réputation de FACIL comporte un élément "pas froid aux yeux". Mais d'autre part, lorsqu'on organise ce genre de trucs, habituellement, on invite les membres de l'organisation (et autres complices) et ceux-ci ont toute la liberté de poser des questions pertinentes sans que les organisateurs soient nécessairement associés politiquement à des prises de position qui ne sont pas propres à l'organisation comme tel (c'est-à-dire, obtenues d'un commun accord dans un contexte démocratique).

Bon, j'avoue que je réfléchis tout haut mais j'espère que ça peut servir.


Catherine



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Catherine Roy, consultante

www.catherine-roy.net 










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