[FACIL] Toutes sortes de contributions au code

[Immanuel Giulea]

>
> 2013/10/10 Mathieu Gauthier-Pilote <mathieu.g.p at facil.qc.ca>
> Le 2013-10-10 15:19, Immanuel Giulea a écrit :
>
>  Un 5M$ dépensé dans le privé crée plus d'emplois que le même 5M$ dans le
>> secteur public, simplement parce que les fonctionnaires sont payés
>> quelques 20% de plus que dans le privé.
>>
>
> À mon avis tes chiffres sont faux, mais s'ils étaient vrais, ce serait un
> argument CONTRE le développement par le secteur privé. On ne veut pas que
> notre argent public serve à sous-payer des travailleurs des TI, surtout si
> on sait qu'en même temps on engraisse une poignée d'affairistes qui
> négocient les contrats contre leurs intérêts et même trop souvent leur
> droits.
>


J'ai pas les chiffres précis, mais cela a été prouvé de nombreuses fois que
les fonctionnaires étaient surpayés, et ils ont des bénéfices (retraites,
etc.) qui dépassent la rémunération dans le secteur privé.


 De moins en moins d'entreprises développent à l'interne.
>

Va dire ça à IBM et Google.



IBM et Google, c'est les big du TI. Google a son propre campus, le
Googleplex. Le monde peut coucher sur place.
On revient sur terre, au Québec. Combien de compagnies dans les PME (1000
employés et moins) qui utilisent les logiciels (pas les producteurs)
peuvent se permettre de payer une équipe de développeurs à l'interne?


 Je persiste et signe, le gouvernement québécois ne doit pas payer des
>> fonctionnaires pour développer des logiciels libres qui existent dans le
>> privé.
>>
>
> C'est une évidence qu'aucun organisme public ne doit dépenser nos fonds
publics pour dupliquer l'effort de produire une logiciel alors qu'un
logiciel libre tout à fait convenable aux besoins a déjà été produit.

Ce n'est pas de ça dont il s'agit. C'est même le contraire.

En ce moment, ce sont des entreprises privées qui amènent nos organismes
publics à développer ou simplement utiliser des logiciels privateurs qui ne
conviennent pas toujours aux besoins en plus.

Si par contre on imagine que l'État québécois devient un important
utilisateur de logiciels libres, alors il n'est que normal qu'il investisse
dans le développement futur de ces logiciels. Il y a plein de cas où passer
par le marché des services sera positifs en principe. Mais il y a aussi
plein de cas où il n'y aura pas vraiment de marché pour répondre aux
besoins.


Les "fonds publics" ça n'existe pas. C'est les impôts des contribuables.
Le but ici c'est surtout pas de justifier des jobs de fonctionnaires !!

Là ou il y a un besoin, il y a toujours un marché pour répondre.
Quant même à importer le savoir d'ailleurs, US ou É-U ou en Asie.
Et vice-versa, les entreprises LL du Québec pourront exporter à
l'international !


Immanuel


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M. / Mr. Immanuel Giulea, BComm
Ville Mont-Royal, QC
514-577-2669
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